Il n’est de richesse que d’hommes : mantra des directions qui répètent à l’envie que la première richesse de l’entreprise sont ses femmes et ses hommes…

Pourtant derrière le voile des discours la réalité renvoie une image différente : les femmes et les hommes sont la première richesse de l’entreprise,  »mais »

Et comme le dirait Tyrion Lannister, le héros de Games of Thrones, ce qui est avant le  »mais » ne compte pas !!!

Sauf qu’aujourd’hui, avec les mutations du monde du travail, et plus largement de la société, il semblerait l’apport d’un collaborateur tienne de plus en plus à la capacité de l’organisation à se nourrir de sa singularité plutôt que de le fondre dans la masse de ses pairs…

… ou dit autrement, à transformer les agents en acteurs ou les collaborateurs en collaboraCteurs !

2018-01-08_16h20_32« Le travail est bien plus complexe que sa description théorique. Il n’est jamais une simple exécution de la tâche prescrite, mais comprend aussi l’ajustement aux situations concrètes, des inventions de manières de faire qui singularisent l’activité, le détournement de moyens pour dépasser les obstacles… Il y a toujours un écart entre la tâche et l’activité. »

Margherita Nasi – Le Monde – 9/01/2017

A propos du livre : « La créativité au travail » de Gilles Amado, Jean-Philippe Bouilloud, Dominique Lhuilier et Anne-Lise Ulmann.

2016-11-30_09h29_10Au sein du Cabinet Orizon, nous constatons souvent que la reconnaissance est l’un des problèmes majeurs des organismes où nous intervenons.

Une étude(*) récente auprès de DRH conforte cette observation de terrain. Les DRH interrogés pointent que la politique de reconnaissance de leur entreprise n’est pas satisfaisante (54%).

Plus intéressant, ils font le constat que la reconnaissance est trop majoritairement fondée sur l’atteinte des résultats. Lorsque ces résultats ne sont pas atteints, elle prend rarement en compte l’investissement des collaborateurs, même lorsque la non atteinte de ces résultats résulte de causes qui leur échappent…

A méditer !