Dans un article du monde daté du mercredi 18 septembre 2024, Séverin Graveleau et Marine Miller explore les apriori sur la « génération Z » en entreprise.

Selon IPSOS : « Quatre-vingt-six pour cent des chefs d’entreprise estiment que la génération Z est vraiment différente de la génération d’avant, 70 % qu’il est difficile d’identifier leurs aspirations professionnelles, et pour 49 % d’entre eux qu’il est difficile de les faire évoluer dans le monde de
l’entreprise. »

Les auteurs en viennent au constat (que nous partageons) que « Les jeunes prennent aujourd’hui plus la parole pour dire ce qu’ils attendent du travail. Mais de nombreux anciens se retrouvent dans leur propos, sans oser le demander… »

Et de citer un rapport de Terra Nova concluant qu’« au “jeunisme” des progressistes, si souvent brocardé ces dernières années, répond aujourd’hui un “grey power” qui ne manque aucune occasion d’exprimer sa défiance à l’égard des nouvelles générations et sa peur de voir dépérir les valeurs qui ont structuré son monde professionnel. »